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[Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END]

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Thomas I. Weaver
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MessageSujet: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeJeu 9 Mai - 11:01

    Aujourd’hui, il fait vraiment un temps terrible. Depuis ce matin à six heures, le soleil tape sur la ville comme un marteau sur une enclume. Il doit faire au moins quarante degrés à l'ombre. Je suis pas du genre à supporter la chaleur, j'aime bien rester au frais. D'habitude ça ne me pose pas de problème quand je suis à l'école, mais comme d'un fait exprès la climatisation du bahut est morte la veille au soir. Dans les salles de classe, l'air est étouffant. J'en suis déjà à deux cachets contre le mal de crâne et trois bouteilles d'eau. Mon prof me regarde constamment, comme s'il craignait que je tombe dans les pommes. Au fond, il a raison de se méfier, j'en serais capable dans de telles conditions atmosphériques. Finalement, au bout de plusieurs heures de supplice, ma journée se termine. C'est sous la forme d'une larve écrabouillée que je quitte enfin le collège pour rentrer à la maison. Je vide ma dernière bouteille d'eau pendant le trajet en bus, puis de rentre dans la maison. Comme les volets sont restés fermés et qu'il y a la climatisation, l'intérieur est frais. J'ai l'impression de revivre. Je jette quelques coups d’œil dans la maison, mais je ne croise personne. Les parents doivent être au taf et Saez a du traîner à la fin des cours. Je soupire de soulagement en me disant qu'ainsi je n'aurai pas à le croiser en montant dans ma chambre. Ma relation fusionnelle avec mon frère jumeau s'est profondément détériorée depuis cette fameuse soirée où - sous l'emprise de l'alcool - nous avons découvert les plaisirs charnels ensemble. Rien que d'y penser, je déglutis. Pour penser à autre chose, je me glisse dans la cuisine et me fait griller une tranche de pain de mie. La tranche entre les dents, je grimpe l'escalier. En chemin, je me débarrasse de l'intégralité de mes vêtements en prenant soin de ne pas les faire tomber par terre. Une fois dans ma chambre simplement en caleçon, je jette mes vêtements sales en boule dans un coin avant de m’effondrer sur mon lit.

    Dans mon sommeil, je fais un terrible rêve. Non, pas un cauchemar. Un rêve, que je ne devrais pas faire mais que je n'arrive pas à chasser. Mon esprit résonne des cris et des gémissements débauchés qu'il imagine. Ces images semblent tellement réelles, que je n'ai pas la possibilité de me réveiller. Les souvenirs remontent à la surface. Il y a son grain de peau, doux et blanc et se tend sous mes mains. Il y a ses lèvres entrouvertes qui gémissent mon prénom comme si c'était celui d'un ange tombé du ciel. Il y a ses hanches qui ondulent telles des vagues sauvages qui s'enroulent inlassablement sur le rivage. Je redécouvre son entêtante odeur de cerise et de transpiration mêlées. Ses deux prunelles noires et dilatées qui ne quittent pas les miennes. Je m'y noie, sans retenue, sans attache, sans tabou. Puis vient l'éclat de plaisir, comme un feu d'artifice dans ma poitrine, je sens que je vais jouir et lui aussi. Mais alors que la tension est à son comble...je me réveille.

    Je me redresse dans mon lit en position assise et mon regard tombe sur l'heure affichée sur mon réveil. Je retombe sur le matelas en soupirant. Ça fait à peine une heure que je dors. Ma respiration refuse de se calmer malgré mes efforts pour chasser ces images de ma tête. Je ne devrais pas avoir des pensées pareilles, c'est dégueulasse, c'est contre-nature. c'est mon frère jumeau, merde ! Y a pas pire que l'inceste de nos jours, personne pourrait comprendre ce que je ressens. Ma tête dit non mais mon coeur ne cesse de hurler oui. Je désire tout ce qui fait que Saez est Saez, que ce soit son corps, sa personnalité, sa voix, son odeur, son regard... C'est comme si je n'étais plus à moi-même. Je ne m'appartient plus. Ce soir-là, sans que je m'en rende compte, il a volé quelque chose de moi de plus précieux encore que mon pucelage. Il a pris une partie de mon âme. Soudain, je réalise qu'il vient en plus de déclencher chez moi un réflexe sanguin assez gênant. J'ai la trique. Mon regard glisse vers la fine couverture qui entoure ma taille et tombe sur la bosse bien visible. Je déglutis en respirant profondément. Je refuse de le faire en songeant à lui. Ça aggraverait les choses. Pourtant ça ne veut pas passer et je suis assez intelligent pour savoir que ça ne va pas partir comme par magie. Résigné mais pas pour autant satisfait, je glisse ma main droite sous la couverture puis sous mon sous-vêtement pour me branler. Peu à peu, mes yeux se ferment quand ma respiration s'accélère. Depuis que j'ai couché avec Saez, j'ai travaillé sur mon endurance. Si parfois c'est un avantage avec les filles ( oui, j'ai eu d'autres aventures depuis ), ça ne l'est pas quand j'ai envie d'en finir rapidement.

    Au bout d'un quart d'heure, je tend la main gauche et appuie à l'aveuglette sur le bouton de ma chaîne stéréo située à côté de mon lit. La musique couvre rapidement les sons émanant de ma chambre, alors je me permet de haleter et de gémir. J'aimerais pouvoir dire que j'ai honte de ce que je suis en train de faire en songeant à mon frère, mais je n'arrive même pas à ressentir de la culpabilité. Tout ce que je sais, c'est que c'est bien meilleur que toutes les filles que j'ai pu me faire entre temps. Dans mon allégresse, je murmure plusieurs fois son prénom, formule magique qui me fait frissonner. Mon plaisir se décuple petit à petit et ma voix devient tremblante et éraillée. Au fur et à mesure des mouvements de plus en plus vifs et brutaux, la couverture a glissée sur le sol. Ne reste plus que mon corps cambré à l'extrême, ma tête renversé contre mon coussin, ma main qui bouge sans douceur dans mon caleçon et mon bras gauche qui s'agrippe au drap du matelas comme si j'avais peur de décoller pour de bon. Je crois que j'ai jamais autant tiré de plaisir d'une branlette en perso. La musique m'entraîne, j'oublie tout ce qui est autour de moi, il ne reste plus que la voix du chanteur, les bruits du Saez imaginaire qui est dans ma tête et ma propre voix qui gémit sans s'arrêter :

    « Saez...oui...oui encore...Saez... Oui ! Oui, encore ! »


Dernière édition par Thomas I. Weaver le Mer 29 Mai - 15:43, édité 2 fois
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Saez A. Weaver
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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeJeu 9 Mai - 11:46

As days go by the nights on fire



On peut dire qu’il fait supra chaud sur L.A, même le vent marin est brûlant. C’est une journée comme les autres, se lever, prendre un ptit dej et prendre sa douche puis se préparer pour ses cours au conservatoire. L’androgyne s’attache un peu ses tiffs. Il se dépêche de faire son sac et sort en balançant un « à ce soir !!! » Il file et passe donc sa journée jusqu’à midi à l’école de musique, avec au programme cours de matière général et exercice de chant et de comédie. Il adore chanter, il adore ça, il espère un jour en faire son métier.  A midi il mange avec quelques amis à la cantosh. Il retourne ensuite pour deux heures et cours et c’est fini.
Le jeune brun traîne un chouilla avec ses quelques potes, ils boivent un canette de soda prise à la cafétéria, squattant dans le parc ombragé du conservatoire. Il prend son temps, il n’est pas pressé de rentrer. Pourtant il faudra bien, une heure plus tard chacun a des choses à faire chez soit et il est encore trop jeune pour demeurer très longtemps dehors.

Il saisit son sac, le posa sur son épaule et hop direction de la maison. Il fait vraiment chaud, la sueur perle sur son front. Il arrive à la maison, bien après son double. Dés l’entrée il voit ses shoes et son sac laissé en plant. Et puis il entend de la musique là-haut, plutôt forte d’ailleurs.
Le jeune brun déposa ses affaires à côté de ceux de Tommy. Il se dirigea vers la cuisine et se servit un verre de boisson fraîche. La clim et la boisson lui fait du bien, il soupir de bien être et frotte son front bouillant sur le verre glacé une fois vidé.
Il rinça un peu son verre et le mit dans le lave vaisselle avec le reste à laver que leur mère mettra en route dés ce soir en rentrant du travail.
Il monta ensuite l’escalier et passa à côté de la chambre de son frère, la porte un peu entre ouvert diffusant sa musique sur tout le palier. Mais alors qu’il passe à côté, il cru entendre son prénom… Il s’arrêta et tourna son visage vers l’ouverture. Tommy l’appelait ?... Il poussa un peu la porte et s’y faufila curieux. Il ouvrit la bouche pour dire « quoi tu m’as parlé ? » mais… Sa tentative s’avorta directe, se bloquant sur se qu’il voyait.
Son frère était juste en caleçon, sa main plongée dedans et il se branlait et gémissait fortement sur son lit défait.
Saez se troubla, n’osa pas faire de bruit, bloqua même ne voulant pas perturber un moment intime à son double. Juste quelques secondes a fixer la scène, à le voir se tortiller et gémir de plaisir et il senti ses pommettes chauffées, il se senti embarrassé et tourna la tête pour partir quand…
           
           « Saez...oui...oui encore...Saez... Oui ! Oui, encore ! »
L’androgyne se bloqua à nouveau et tourna vivement son visage vers le lit. Un coup au bide au cœur, son frère gémissait son prénom… Il écarquilla les yeux posant ses yeux sur cette main qui faisait son affaire avec passion. Il dégagea même son sexe bouillant du tissu, s’offrant clairement en érection humide sous son regard. Saez dégluti, un trouble monta, malgré lui il repensa à cette nuit, ses images de son frère au dessus de lui, son regard fiévreux, ses baisers doux et passionnés, les sensations de plaisir et de souffrances excitantes. Il avait conscience qu’il jouait les voyeurs et fixait son frère qui pensait à lui en se branlant… Ça le foutait dans un drôle d’état de chaleur indescriptible comme une sensation de panique aussi. Puis il décala son regard vers le visage de son frère qui venait encore de gémir son prénom et là il sursauta presque, Tommy le regardait. Il l’avait vu resté planté là et il continuait à se toucher et à gémir son prénom en sachant qu’il était là. Pendant un de longues secondes, ils se fixèrent les yeux dans les yeux, ce trouble monta, réchauffa ses reins et il senti cette chaleur faire réagir son propre corps, lui donner envie aussi. Il bandait à son tour, doucement ça grimpait, il en avait la tête qui tournait.
Puis Thomas leva sa main libre et la tendit vers lui, paume ouverte. Il lui tendait la main, l’invitait à le rejoindre. Son regard à nouveau fiévreux, brillant, ce regard le désirant, le sondant, le transperçant de désir et d’amour.
Ce geste irréel débloqua Saez qui poussa la porte derrière lui, la ferma et comme hypnotisé par la scène, de voir son double presque nu le désirer, il s’avança, tendit sa main aussi et laissa celle-ci rejoindre celle de son double, leurs doigts se joindre et d’un petit mouvement sec mais doux, ce bras tendu l’attira sur le lit. Saez suivit le mouvement souplement, grimpa sur le matelas, s’installa à cheval sur son double et sa bouche se plaqua sur celle de son double. Il répondait à l’invitation, glissant sa langue dans sa bouche, plaquant sa main sur sa joue, le dévorant, le voulant autant qu’il le voulait lui. Il succombait à ce désir qui déformait son sexe et exacerbait ses sens. Il se plaqua contre lui et frotta son bassin contre le sien heureux de sentir qu’il ne se touchait plus mais que ses deux mains exploraient bien son corps à lui. Au contraire de Thomas, Saez n’avait pas couché ailleurs, cette première fois l’obsédait et le bloquait encore… Il avait peut être besoin d’y regoûter avec lui… d’exorciser sa honte même si ça restait immoral… Il contrôlait pas ses pulsions et ni Tommy apparemment.

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Dernière édition par Saez A. Weaver le Dim 20 Juil - 18:53, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeLun 13 Mai - 11:05

    Je ne sais pas très bien pourquoi j'ai tendu la main vers Saez. Une réaction normale aurait été de m'arrêter sitôt que j'aurais découvert la présence de mon frère dans la chambre, mais je ne pouvais pas détacher mon regard du sien qui me matait avec un mélange d'angoisse et d'envie. Son petit côté voyeur, loin de me mettre mal à l'aise, m'excitait au plus haut point. Alors, m'enfonçant dans les limbes du tabou, je m'étais mis à gémir son prénom alors que je n'arrêtais pas de le fixer. J'ignore s'il eu pitié de moi ou simplement s'il en avait autant envie que moi, mais il se retrouva à califourchon sur moi en moins de temps qu'il m'en aurait fallu pour dire ouf. Et voilà où j'en suis, maintenant, mes lèvres dévorant les siennes avec une passion impossible à contenir. Ma main s'est éloignée de mon sexe pour glisser sous le haut de Saez, touchant sa peau douce et fine. Il m'a vraiment manqué. Pourtant je l'ai vu tous les jours mais ce n'est pas pareil. Depuis cette fameuse soirée, rien n'est plus pareil, tout simplement. Un gémissement m'échappe quand le bassin de mon frère s'appuie contre le mien et je m'empresse alors de stopper notre baiser pour lui ôter son t-shirt. En manque de ce contact tellement addictif, je renverse mon frangin en arrière et me poste au dessus avec un air de mâle dominant en rut. Je redécouvre son torse à coups de lèvres, à coups de dents, à coups de langue. Je m'attarde sur ses tétons que je dévore littéralement, y laissant des marques rougeâtres.

    Au fond, je remercie toutes ces crétines de filles qui m'ont plus ou moins appris ce qu'il faut faire pour faire grimper le plaisir en flèche. Que ce soit un mec ou une fille, c'est presque la même chose. Appliqué, mes mains se débarrassent du jean de Saez puis le font glisser sur ses jambes fuselées jusqu'à l'envoyer valdinguer dans la pièce, accompagné de près par les chaussettes. Une fois tous les deux au même stade de nudité, je prends le temps de souffler. Tout est dans la respiration. Avec Cindy j'ai réussi à tenir à peu près 25 minutes sans compter les préliminaires. J'espère que cette fois je saurai être à la hauteur avec lui, parce que j'ai pas forcément très bien vécue mon éjaculation précoce de notre première fois. J'ai presque un peu honte maintenant parce que ça se voit que j'ai beaucoup plus d'expérience, et ça veut dire ce que ça veut dire. Je me suis exercé. Vraiment beaucoup. Avec plusieurs filles différentes. C'est con de me sentir mal comme si je l'avais trompé, puisque c'est mon frère et qu'on devrait même pas avoir ce genre de relation.

    Au bout de quelques instants de caresses, je fais un sourire sadique et je descend le long de son torse, laissant glisser ma langue le long de sa peau frissonnante. Du bout des index, je baisse son caleçon et lèche doucement son sexe déjà à moitié érigé. Au moins je sais que je suis doué pour ça, j'avais pas besoin des nanas pour savoir le faire. Rien que la première fois, ma capacité en matière de fellation avait fait son effet. Une fois de plus, je lui fait la gâterie du siècle. Pendant plusieurs minutes, je ferme les yeux et ondule contre lui, suçant, mordillant et léchant son sexe sur toute sa longueur. Mon esprit divague et je m'arrête juste avant qu'il ne jouisse. Je le laisse respirer, se détendre. Une fois que c'est fait, je glisse une main vers le tiroir de ma commode et en sort un tube de gel lubrifiant qui sent la fraise. Encore un petit cadeau féminin. Avec une intense précaution, je glisse un doigt en Saez une fois que je l'ai bien lubrifié. lentement, je suis les conseils trouvés sur le net. D'un mouvement vif mais pas brutal, j'enfonce mon doigt et le replie pour atteindre sa prostate. Lorsque je rencontre effectivement l'objet recherché, mon frère se cambre d'un coup et je ris un peu. Avec ça, il va forcément se détendre. Deux fois, cinq fois, dix fois je répète le mouvement en enserrant parfois un doigt en plus. Sa peau chauffe mais elle ne s'irrite pas grâce au super lubrifiant. A un moment, je suis surpris parce que ses muscles sont tellement détendus que je peux y mettre quatre doigts sans le blesser. J’hésite à aller plus loin.

    « Tu vas bien Saez ? Je... Tu veux que je continue ou bien... ? »

    Je n'ose pas passer à l'étape suivante. L'image de mon frère se tortillant et versant des larmes de douleur me revient comme un souvenir douloureux. Si mon frère n'était pas en train de gémir à mon oreille, j'aurai certainement débandé rien qu'à l'idée que je puisse le blesser de nouveau.
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Saez A. Weaver
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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeMar 14 Mai - 21:26




Dés qu’il a grimpé sur le lit et qu’il chevauche son double, Saez sent les mains de son jumeau glissées sous son haut et caresser sa peau. Bouche contre bouche, souffle contre souffle, la pulsion et l’envie les submerge… une nouvelle fois et sans l’alcool, l’androgyne succombe au plaisir tabou, se lâchant et demandant à son frère de répondre à ses baisers, de lier sa langue à la sienne. Puis ses attouchements l’électrisent. Thomas tremble d’envies sous lui. Ses mains chaudes, parcours son corps fébrilement t sa langue chaude et humide s’enfonce avec passion dans sa bouche, bataillant avec fougue avec la sienne. Saez perd pied et s’abandonne à lui, gémissant, soupirant dans l’échange.

Sans vraiment s’en rendre compte, leurs corps se frottent l’un contre l’autre, leur bassin se touchent, se pressent, se cherchent avidement. Le cœur du plus jeune s’emballe, il bat comme un fou, son ventre se tortille, s’emplit de million de petits paillons brûlants, qui voltigent et lui fait perdre la tête.
Son corps réagi, le désir, l’appel… Il se sent chauffer, bouillant, durcir à un endroit. Le sexe l’appel, Thomas réveille ses sens, il désir son frère au plus profond de sa chair et il ne comprend pas pourquoi c’est si fort, si animal, si puissant. Il est incapable de s’y soustraire, l’attirance est tellement forte, qu’il n’arrive pas à se raisonner, à refuser, à refouler… Il veut, son corps, son cœur, son âme désirent la fusion, s’unir à lui encore une fois. Il a encore un peu peur vu la souffrance du début de cette première fois, mais… son être se souvient du plaisir aussi, trop court mais bien là, puissant, troublant, captivante…

Un instant leurs bouches se séparent, Thomas à agrippé le haut du brun et le soulèva pour lui retirer. Saez décolla un peu de lui, leva ses bras pour l’aider et vira donc ce haut loin. Aussitôt torse nu, Thomas l’agrippa et fit un brusque roulé boulé pour renverser la situation.
Saez en une seconde, se retrouva allongé sur le lit et Thomas sur lui, le couvrant, s’installant entre ses cuisses.
La langue de Tommy se mit à le dévorer, léchant son buste, mordillant sa clavicule, s’savourant sa peau, pinçant entre ses deux chaque tétons puis les suçotant comme des petits bonbons. La maîtrise de son frère fit fondre Saez, couinant et se tortillant de délice. Il sentait son frère en mâle, tellement mâle même et avec un doigté plus affuté. L’expérience… Ca se sentait, son frère avait poussé l’expérience du sexe plus loin. C’était évident, ça se sentait dans ses caresses et son regard gourmand. Lui par contre était encore novice dans le sexe pur. Il n’était qu’a sa deuxième et c’était encore avec lui… Son frère était vraiment en train de l’initier au plaisir de la chaire. Il devenait sa première fois, le premier homme à le goûter et à lui faire l’amour.
Personne d’autre encore n’avait eu ce droit, encore un peu apeuré et bloqué par la douleur lors de son dépucelage. Sauf que là… Thomas se montrait si expert et si précis, qu’il y avait moins de stresse pour l’androgyne.

Quand Thomas eu fini de lui faire de jolies marques rougeâtres sur sa peau clair et de le faire couiner doucement. Il s’attaqua au pantalon de son frère. L’ouverture céda vite sous ses doigts et il s’empressa de tirer dessus, de dégager son vêtement et lui ôter avec ses chaussettes.
Saez était juste en boxer sous son double, il se sentait tellement démuni et découvert, ce regard noirci par l’envie , lui faisait connaître les prémisses d’un sentiment troublant. Sentir un regard si avide et si brûlant lui plaisait tant et en même temps que la fascination, l’intimidait et lui faisait craindre un peu de perdre encore plus le contrôle sur lui-même. Ca le mettait en transe, il ne pouvait détacher son regard du sien, de plus Thomas entreprrt aussi d’ôter ses fringues au plus vite, se mettant à son tour en simple sous vêtement… et… putain… Saez  s’en mordit la lèvre, il était beau nu. Son regard ne pu s’empêcher de le scanner de façon appuyé et de voir cette bosse impressionnante et humide qui déformait son caleçon aussi. Thomas bandait toujours si fort et suintait d’envie. Il était humide et dure pour lui… BOOM dans son cœur encore. Ses pommettes lui semblèrent si chaudes, il devait rougir comme une fillette… c’est un peu la honte là…

Groogy pas la sensualité de ses attouchements, l’androgyne ne faisait que caresser ce corps sur le sien, ses mains semblant explorer à nouveau ses courbes douces, musclés, gracieusement viril. Ses épaules plus puissantes que lui, sa nuque douce, le chatouillement de ses longues tresses sur sa peau quand il se penchait que pour lui afin de le goûter. Puis ce regard en amande qui le fixait avec gourmandise… Hann et le sourire prédateur…. Mon dieu… Qu’est ce qu’il faisait là ?... Thomas descendait sur sa silhouette presque nu et sa bouche glissa sur son ventre jusqu’à l’aine. Saez haleta car il senti qu’il fit descendre aussi son boxer, dévoilant tout… exposant son attribue masculin totalement excité. Il haleta plus fort et mordilla sa lèvre. Avant qu’il puisse réaliser, Thomas le léchait et l’engouffra dans sa bouche. Il se cambra et gémit si fort, heureusement la musique couvrait ses petits cris.
Son frère le suçait et c’était putain de délicieux, le jeune brun se tortilla de délice, ouvrant la bouche, gémissant, s’agrippant à ses épaules, puis caressant sa nuque qui bougeait en rythme. C’était bon… hannn il laissa son fin visage s’échapper un peu en arrière. Il se mordilla la lèvre, glapit et bougea son bassin emporter par l’envie, la sensation. C’était si chaud, doux, humide autour… Cela fondait autour de son membre. Mais cette gâterie fabuleuse le mettant dans une transe incroyable, s’arrêta brusquement, laissant Saez sur sa faim… Un petit goût de frustration en sentant son frère s’éclipser un peu de son corps, mais le bruit du tiroir attira son regard et son attention. Il tourna son fin profil et il le vit tendre le bras, fouiller dedans et sortir un tube rose au design assez explicite. Même s’il était novice pour faire l’amour, il savait reconnaître les produits pour le plaisir sexuelle. Thomas avait du lubrifiant dans son tiroir…  Depuis le début de ses attouchements, Saez comprenait que son double avait acquis de l’expérience et il se doutait que des filles étaient passées par là.
Il ne dit rien, il ferma un instant les yeux, chassa les gonzesses qu’il avait pu entre apercevoir graviter autour de son jumeau. Il ne voulait pas s’imaginer, pas maintenant… Cela ne le regardait pas de toute façon même si ça le mettait dans un certain état de trouble.

           Il ouvrit les yeux en sentant son frère bouger et revenir sur lui, le tube en main, il le regarda comme fasciner se mettre du liquide frais et translucide sur les doigts et puis se reculer pour venir lu écarter les cuisses et se placer entre. Saez se mordilla la lèvre et remonta un genou un peu en appréhension vis-à-vis de la suite. Il senti du baume frais s’étaler autour de son anus, son frère lui en mettait une bonne dose et puis il glissa un doigt en lui. L’androgyne par reflexe se crispa un peu mais au final ça glissa plutôt bien, alors il se détendit un peu, fixant son frère à sa découverte en lui. Il était à fond, observant avec adoration son doigt en lui, glissant dedans, entrant et sortant, tendit que son autre main caressait doucement l’aine et le pourtour soyeux de son sexe.
IL allait venait et titilla l’intérieur, pliant son doigt d’une certaine façon et là…. Hannnnnnnnn… Saez poussa un cri qui lui échappa, un petit cri de plaisir car la sensation fut si délicieuse, si intense qu’il cru fondre sur place.
Il posa un regard fiévreux, curieux et un peu perdu sur ce visage concentré qui l’observait. Il recommença et l’effet fut tout aussi dingue. Saez se cambra et écarta bien ses cuisses, ondulant même de son bassin pour sentir encore mieux cette intrusion. Il prenait mieux son pied là… comment c’était possible ? Juste en introduisant ses doigts… Comme la dernière fois avec son sexe mais cela avait été trop court… Là il arrivait à le faire gémir sans être encore en lui. Il se sentait tellement sensible là. Thomas esquissa un sourire de vainqueur et glissa un autre doigt, joua avec lui et s’amusa à le faire crier selon son bon plaisir. Saez fébrile, essoufflé n’arrivait pas à se soustraire à cette sensation brûlante en lui, comme une vague chaude, comme si la mer déferlait dans ses reins brutalement.
L’androgyne s’agrippa d’une main au lit, son corps s’animant de spasme de plaisir, d’envie brûlant, ses cuisses s’échauffant délicieusement alors qu’l continuait à le doigter avec précision incroyable. Tremblant d’envie, son autre main s’agrippant à lui à sa cuisse musclée alors qu’il s’acharne encore et encore et qu’il trouve ça fantastique… Ho oui putain c’est si incroyable….

« Tu vas bien Saez ? Je... Tu veux que je continue ou bien... ? »
- Han… oui… T’inquiète… ça… hmmm … Va c’est bon… putain t’arrête pas…. Là c’est… je… c’est si sensible…
Il avait du mal à être cohérent, haletant, couinant sous la délicieuse torture. Il planta un regard fiévreux et caressa de ses doigts le visage plus penché vers lui qui l’observait avec un peu d’inquiétude.
- … J’ai pas mal… putain non… c’’est fantastique… je crois que je suis… Hannnn prêt… Il tourna la tête et gémit s’abandonnant dans le luxe fabuleux de ce contact intime en lui.
-To…Tommyyyy….Hmmmm… Tommyyyy… Il enroula son bras et l’attira contre lui, collant son cul contre ses doigts, enlaçant de sa jambe ce bassin, se frottant à lui, gémissant et haletant dans son oreille, inlassablement son prénom dans une plainte de plaisir absolue. Il fondait et la voix rock et rauque du groupe de musique alternatif masquait la débauche et l’initiation sexuelle entre les jumeaux.

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Dernière édition par Saez A. Weaver le Dim 20 Juil - 18:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeMer 15 Mai - 14:18

    Je ne peut m'empêcher d'hésiter, le regard un peu dans le vague. J'ai la trouille de faire quelque chose que je pourrais regretter. Pourtant, les paroles et les gestes de Saez m'encouragent grandement à continuer, à aller plus loin. Certes cette fois il doit penser ce qu'il dit puisqu'il n'a pas bu d'alcool, mais serais-je capable de subir la même humiliation que la dernière fois ? Il faut que j'assure si je décide d'aller jusqu'à l'étape suivante. Je ferme les yeux quelques instants pendant que mon frère se frotte contre moi en gémissant d'envie. Lentement, j'inspire et expire pour calmer les battements angoissés de mon coeur. Ses supplications résonnent dans mes oreilles et dans ma tête, tant et si bien que mes résolutions s'effritent une à une. le désir reprend ses droits, recouvrant mes peurs et mes appréhensions. Si Saez dit que tout va bien et qu'il veut que je continue, je lui fait confiance.

    D'un geste lent et incroyablement tendre comparé à ce que je voulais faire tout à l'heure, je retire mes doigts et commence à le pénétrer de mon sexe. La sensation est inouïe, je ne ressens aucune douleur, aucune résistance. Tout est chaud, serrée, doux et humide. Lorsque je me retrouve au plus profond de lui, ma gorge émet un drôle de couinement entre le supplice et le gémissement. C'est encore meilleur que la première fois, encore meilleur avec les filles, encore meilleur que tout seul lorsque je rêvais de ce moment. J’éprouve une vague d'émotions tellement grande que j’étouffe presque un sanglot en donnant un second coup de bassin, plus profond encore. A chaque coup, je frôle cet endroit si sensible qui se contracte. Je meurs de chaud, j'ai cette terrible impression que j'ai trop d'envie comparé à ce que je peux avoir. Mon corps tremble, c'est presque des spasmes maintenant.

    Le sang bat contre mes tempes et je ne perçois presque plus le bruit de la musique. Mes lèvres s'entrouvrent sans prononcer le moindre mot, parfois j'oublie même de respirer tant je suis concentré sur le plaisir que je ressens. Conscient de ne pas être doux, je ne peux pas freiner mes élans. Ainsi, je le pilonne furieusement, encore, et encore, et encore. A chaque coup de mon sexe au plus profond de son cul, c'est nos voix qui s'entremêlent pour hurler. Sauvage, ma bouche se referme sur sa gorge et je le vampirise complètement. J'aime sentir le goût frais de son sang passer à travers sa peau d'ivoire à chaque fois que je la serre entre mes lèvres. Ma langue fait rouler sa peau, sa chaire, ses muscles et veines. Je grogne en redoublant de force dans mes mouvements.

    Emporté par l'envie, je me redresse et installe Saez sur mes cuisses. Assis l'un sur l'autre, je passe de dominant à dominé. Conscient qu'il prendra plus de plaisir ainsi en choisissant lui même ses mouvements, je passe mes bras autour de lui et commence de grands mouvements circulaires avec mon bassin, laissant à mon frère le loisir de s'empaler sur moi à sa guise. Les mots me manquent pour exprimer ce que c'est que de coucher avec lui. C'est plus qu'un simple besoin primaire. Il y a quelque chose de magique dans ces unions incestueuses, quelque chose de bien plus fort qu'une attirance toute bête. Je n'ose y penser pour le moment, mais peut être que ce sentiment auquel je ne trouve pas de nom est celui qui s'approche le plus de ce qu'est l'amour. Le véritable amour.

    « Saez...c'est trop bon. S...Saez...Haaaaaan... »

    Ma paroles ne veulent rien dire, elles ne sont pas là pour faire passer un message. Pour une raison que j'ignore, prononcer son prénom m'excite presque autant que l'acte en lui-même. J'ai besoin de laisser échapper mon souffle haché et retenu. Je songe à ce que serait mon plaisir si je me laissais aller à prononcer quelques expressions bien crues. Je m'y risque, je veux découvrir tous les recoins de mes fantasmes.

    « Je connais rien d'aussi délicieux que ça...Ton cul est tellement bon, je peux pas m'empêcher de te baiser comme ça... »

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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeJeu 16 Mai - 9:09




Ses doigts tardèrent un peu à quitter leur antre chaude et étroite où ils exploraient, bougeaient doucement et s’enfonçaient bien au fond. Thomas au dessus lui semble hésiter, fouillant dans son regard si vraiment il est sérieux, si il peut y aller, alors Saez gémit, se cambra, ondula et halèta sa supplication. Il le veut, oui son sexe en lui,  le sentir entrer et faire l’amour, encore une fois.
Au final son frère abandonna sa réserve et il se plaça entre ses cuisses, ses doigts se retirèrent, il agrippa son sexe. L’androgyne relèva un genou, écarta ses jambes et avança un peu son cul sentant l’autre main agripper sa hanche. Il se tenait prêt à l’intrusion, fermant un instant les yeux, déglutissant, le cœur battant, les joues brûlantes et… La chaleur, la douceur, l’épaisseur dure du membre écarta ses chaires, ça glissa, ça entra, ça s’introduit doucement comme dans du beurre. L’androgyne ouvrit alors les yeux et haleta de surprise et de plaisir, il se cambra et se mit à caresser ce dos qui le couvrait, glissant ses mains dans la cambrure jusqu’au galbe du cul ferme qui poussait bien en lui. Les muscles se tendaient, c’était bon, il était au fond, bien en lui et cette sensation chaude, étroite le captivait. Il avait été bien préparé, il se sentait comme fait pour lui, s’emboitant parfaitement sans ressentir trop de souffrance, à peine, juste une incroyable sensation de désir qui le dévorait au niveau des reins et du ventre. Oui comme s’il était dans sa chair, ancré, vitale et à sa place… Pourtant il ne devrait pas ressentir ça, autant d’envie, autant de plaisir que son frère lui fasse l’amour…
Il l’entendit gémir et hoqueter un léger sanglot. Le profil fiévreux du plus jeune se rapprocha du sien, caressant de sa bouche et de son nez sa joue. Oui lui aussi il avait des larmes aux bords des yeux, c’était tellement… trop bon… trop parfait, trop intense rien qu’en étant uni ainsi. Une de ses mains se posa délicatement sur sa nuque et l’encouragea à bouger, à l’étreindre.
Et le premier mouvement commence, le second ensuite, puis encore, encore, encore… Saez vibra, succomba à cette danse rude et pourtant… Il s’accrocha à lui, enlaça de ses bras sa silhouette, sentant ses muscles se tendre,  son bassin s’acharner très vite entre ses cuisses et son sexe buter bien fort à l’intérieur. La tendresse d l’intrusion se transforma en quelques pilonnage en une soif animal qui vrilla le ventre et le cœur du jeune brun.
Gémissant, se tortillant, il renversa sa tête en arrière, subissant ce plaisir absolue que seule son frère lui donnait. Deux fois qu’il couchait avec, qu’ils se livraient au plaisir du sexe ensemble et ce deuxième essai était un tourbillon de sensation délicieuses, indescriptibles. Il fondait dans ses bras, s’abandonnait à sa domination, à sa passion qui le consumait tout entier. Il couina, haleta son prénom et des ptits mots confus de plaisir. Ses ongles manucurés giffa un peu sa chair moite, dans son dos, sur ses épaules alors qu’il sentait la bouche de son double dans son cou, suçant, vampérisant sa peau blanche, lui faisant sans qu’il l réalise sa marque possessive, un suçon violacé et bleu pour plusieurs jours. Le signe visible d’une passion interdite mais tellement enivrante.

Thomas le percutait avec des grognements des petits cris d’extase. Saez le dévora du regard, au dessus de lui, son visage transcendé par le plaisir qui grimpait dans son corps, dans ses reins, dans son sexe qui allait si fort en lui. Chaque coup faisait connaître les prémisses d’un violent orgasme pour l’androgyne. Il se perdait dans la volupté du sexe, des assauts charnels. Il serrait ses cuisses autour de ses hanches voraces pour qu’il continue, qu’il ne s’éloigne pas. Il se sentait dévorer de l’intérieur par un feu qu’il ne connaissait pas. Ho oui il aimait ça, Thomas venait de lui faire découvrir ce qu’était le sexe et pourquoi on y prenait goût et qu’on aimait s’abandonner dans l’amour.
Inconscient du reste, du « autour », qu’ils étaient dans leur chambre d’ado, si jeune et jumeau, ils se comportaient comme des amants furieux et passionnés, se livrant à des agissements d’adultes. La musique avait du mal à couvrir leurs cris, leurs parents travaillaient tard, mais leur mère pouvait parfois rentrer exceptionnellement plus tôt. Ils n’avaient pas vraiment beaucoup de temps pour se livrer à ce genre de plaisir sans risque. Juste l’après école, le temps d’un goûter, de faire un peu leur devoirs. Un répit de quelques heures, 18h.. 18h30 parfois elle débarquait… T là avec la musique ils n’entendraient même pas la voiture et elle ?... Entendrait- elle les cris d’en bas ? … Saez avait a peine conscience du temps, il ne voyait que son frère au dessus de lui, ne sentait que lui , n’éprouvait que sa rudesse et  ses effets sur son corps.  Il ne se reconnaissait plus, agissant comme en chaleur, comme une chienne qui veut s’accoupler. Il gémissait son prénom, son surnom et n’avait que les halètements de son frère à l’oreille. La musique il la zappait, la chambre, le décor familier s’effaçaient. Il ne voyait que lui et rien que lui entre ses bras et entre ses cuisses.
Puis Thomas l’enlaça, se redressa, l’entraine et il se retrouva sur lui, assis l’un et l’autre sur le lit toujours emboité et Thomas ondulant du bassin. Un peu maladroit au départ, Saez se mit à bouger aussi, appuyant un bras sur le lit, l’autre enlaçant la nuque de son frère. Frottement du corps, bassin claquant sur celui de son double, le sexe poussant en lui, s’empalant et puis de plus en plus à l’aise il se mit clairement à le chevaucher collant son front contre le sien, le regard trouble dans le sien, leurs souffles erratiques et sexuels se mélangeant ensemble.
Il la sentait plus fort en lui, percutant plus précisément encore sa sensibilité qui le fit glapir et gémir comme une pétasse prenant son pied. Il se transformait en allumeuse, gémissant, se mordillant la lèvre et renvoyant une image sensuelle et perverse. Bouche ouverte, lèvre humide Hannnn… Oui… Il basculait violement son cul sur ce membre, roulant des muscles, se faisant mal aux cuisses mais incapable d’arrêter cette violante chevauché charnelle.

« Saez...c'est trop bon. S...Saez...Haaaaaan... »
-Hannnn je sais… je… J trouve aussii… Hannn… continue… hmmm… touche moi … mon… sexe… Il ferma les yeux feulant de plaisir, sa main sur sa nuque plantant un peu ses ongles et claquant fort son cul sur lui. Il se perdait, c’était bon, il se sentait partir mais il avait besoin qu’il la touche, qu’il le caresse, qu’il le dévore encore plus pour atteindre l’orgasme.
La sueur gouttait dans son dos, glissait jusqu’aux creux de ses reins.

« Je connais rien d'aussi délicieux que ça...Ton cul est tellement bon, je peux pas m'empêcher de te baiser comme ça... »
Saez nicha son profil dans son cou, il lécha sa gorge, la mordilla et plaqua juste sa bouche haletant et sourit contre sa peau.
- Hannnn… Continue…. Tommy…. Hannn ptain… Il n’arrivait pas à dire plus d choses, il se sentait partir, son frère lui avait agrippé le sexe et il redoublait de sauvagerie, lui-même maso totalement se violentait sur son membre, s’épuisant à s’empaler dessus, encore, encore et encore.
Il se cambra, se décolla un peu de son cou, il bascula son visage en arrière, la bouche grande ouverte les yeux quasi fermé, il tremblait d’extase. Ses doigts, son pouce sur son membre, il se tendit, senti l’assaut monter. Il se crispa pour retenir encore l’orgasme, malgré l’épuisement il voulait encore tenir un peu.
- T… Tommy… Je… J’vais venir… Je sens que… Hannn ptain… Il hoqueta un sanglot car c’était si puissant que l’émotion le submergea et il céda, plaquant sa bouche contre la sienne, enlaça sa nuque il pénétra de sa langue dans sa bouche et glapi contre ses lèvres son plaisir ultime. Entre les doigts de son frère il éjacula vivement, arrosant leurs ventres et leur bassins alors que son jumeau continuait à donner des coups secs en lui. Saez s’abandonna dans ses bras, se colla, respira son odeur viril, l’enlaça le laissant continuer pour le rejoindre. Il s’était serré autour de son sexe, il le sentait bien venir en lui, la sensation mêlé à son orgasme était encore meilleur.
- Thomas…hannn viens… rejoins moi… joui en moi… putain… c’est si bon… Il le serrait si fort contre lui, troublé, shooté en extase total contre lui, continuant d’onduler aussi incapable de s’arrêter tant qu’il n’aurait pas jouit à son tour.
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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeJeu 16 Mai - 14:06

    A sa demande plutôt crue, je prend dans ma main le sexe tendu de Saez et commence à le branler au même rythme que nos mouvements. Ses gémissements inondent mon corps comme des vagues déchaînées. Comment résister à une telle sensualité ? On dirait que son corps entier a été conçu pour être aimé de cette façon. Moi qui croyais qu'il allait désapprouver mes mouvements brutaux, le voilà qui provoque lui-même cette douce torture. Ses cuisses serrent mes hanches avec une force que je ne lui connaissait pas et je tremble en sentant qu'il se contracte de plus en plus. La musique n'est désormais qu'un brouhaha de fond qui n'arrive même plus à couvrir nos cris d'extase. J'ignore si c'est la crainte d'être surpris par l'arrivée prématurée de maman ou le simple fait d'agir de façon tabou qui nous excite le plus, mais bordel c'est comme si le plaisir n'était jamais suffisant. Il m'en faut plus, toujours plus. Quand j'étais petit, j'étais loin d'imaginer qu'à l'âge de quinze ans je serais là, dans ma chambre, en train de coucher avec mon propre frère jumeau, pour la seconde fois.

    Les cris de plus en plus aiguës et haletants de Saez m'informent qu'il va bientôt venir. Finalement mon objectif est largement atteint, je vais réussir à le faire jouir rien qu'en le prenant ainsi. Cette fois, rien n'est pareil que la première fois. J'ai gagné en expérience, je sais ce que je fais, je sais comment me contrôler, me retenir. Tant qu'il ne se sera pas pleinement répandu sur mon torse, je ne lâcherai rien. Un pincement se fait sentir dans mes bourses mais je respire à fond et continue mes mouvements circulaires. Non, je ne peux pas jouir maintenant, je suis trop près du but pour abandonner. Mes yeux se ferment et je cherche le calme dans cette tendre bestialité. Ma respiration s’apaise et mes mouvements reprennent un rythme d'enfer. J'y suis presque. Et lui aussi.

    Soudain, un cri échappent aux lèvres de Saez, plus fort et plus aiguë que les autres. Un liquide poisseux et chaud éclabousse ma main et mon torse alors que mon frère se serre contre moi. s'il avait été aussi costaud que moi, il aurait pu me couper le souffle, mais je n'ai rien à craindre de son corps fin et fragile. Son intimité se serre d'un coup autour de mon sexe et que couine de façon un peu minable. Enfin, je peux me laisser aller. D'un grand coup de bassin, je frappe le fond du cul de Saez et y déverse mon plaisir. Je gémis en enfouissant mon visage dans son cou et en passant mes bras de façon tendre et protectrice autour de ta taille. Du bout des doigts, je caresse son épiderme transpirant, son dos qui tremble encore de quelques spasmes. La musique s'est arrêtée. J'ignore depuis combien de temps le cd a fini de tourner. Dans le silence, nos respirations épuisées résonnent. La dernière fois, je me suis sauvé et je me suis enfermé dans la salle de bain pour cacher ma honte. Aujourd'hui, pas question de me sauver. Lentement, je bascule pour poser ma tête sur mon oreiller, Saez toujours contre moi. Sa tête se pose sur mon torse et je soupire d'aise en rabattant mon drap sur nous.

    Mon regard se perd sur le plâtre blanc du plafond. Y-a-t'il quelque chose que je devrais dire ? Je ne sais pas par où il faudrait que je commence. Au fond, c'est encore moi qui ai déclenché ce truc, c'est ma faute si nous nous sommes une fois de plus perdus dans cette luxure incestueuse. Mes doigts se perdent dans ses cheveux bruns et soyeux, caressant sa tête distraitement. J'inspire profondément en gonflant mon ventre et expire de façon contraire. Mes muscles qui s'étaient tendus à l'extrême se détendent en picotant. Je vais sûrement avoir quelques crampes durant les deux prochains jours, mais je ne peux m'empêcher de penser que ça valait le coup. Ici, emmêlé avec lui dans les mêmes draps, j'oublie presque l'horreur de nos actes. Je m'en fiche, j'ai eu ce dont je rêvais. Pourtant, la réalité fini toujours par nous rattraper. Dehors, dans l'allée, j'entend le ronron habituel de la voiture de maman. Mes yeux s'agrandissent de stupeur lorsque je me rend compte de la situation dans laquelle nous nous trouvons mon frère et moi. D'un geste vif, je me redresse et secoue un peu Saez qui - je crois bien - s'est assoupi un instant.

    « Saez ! SAEZ ! Bouge, maman est rentrée ! »


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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeVen 17 Mai - 9:13




Le lit est mit à mal, les draps froissé, étroitement lié, silhouettes nues emboités l’une dans l’autre, assise et se livrant à une douce débauche dans une chambre devenu leur sanctuaire, leur bulle. C’est bon, divin, se lâcher, se livrer tout entier jusqu’à l’orgasme. Saez se perd dans ses bras, il lui avait offert sa virginité et maintenant il lui donnait son premier grand orgasme, juste pour lui, à lui, son double, son jumeau. Personne ne l’avait encore eu comme ça, personne ne l’avait touché ainsi, aussi profond dans sa chaire.
Il se senti partir ; grimper, monter et éjacula brusquement entre leurs deux corps, sa semence arrosant leurs ventres moite de sueur, la main de son double et coulant sur leus bassins toujours en action.
Groggy, planant, ivre, il s’accrocha à lui, noua son bras, offrit son corps assouvi dans une douce luxure pour qu’il le rejoigne au plus vite. Coup de boutoir, le faisant encore gémir si fort, fermer les yeux, planter ses ongles dans cette peau halé au parfums salé.
Et Thomas se crispa si fort, l’étreignit si vivement, son sexe percuta le fond, se gonfla, s’immobilisa et un râle animal, rauque, sensuelle s’échappa de la gorge de son double. Saez senti la semence chaude le remplir, couler à l’intérieur et doucement ressortir mouillant les draps, parfumant de cette odeur musquée la chambre. Une odeur piquante qui lu donna un vertige, ils étaient éreintés, épuisés mais tout deux comblés totalement.
Saez récupérait, son double aussi, il se sentait bien protégé dans ses bras, s’apaisant doucement sous son touché tendre et délicat. L’acte avait été très vite fort et passionnelle, l’après se montrait tellement plus affectueux et tendre. L’androgyne caressait aussi son dos, ses épaules, haletant contre son cou, et frémissant sous ses doigts jouant doucement avec ses cheveux collés par la sueur.

Et c’est comme ça qu’ils réalisent qu’ils sont plongés dans un profond silence, juste troublé par leurs souffles excités et erratiques. Depuis combien de temps la musique a cessé de se faire entendre ? Saez glissa un regard vers le radio réveil de son frère… 18H…. apparemment leur mère n’est pas encore rentrée, heureusement vu le bouquant de leur ébats sexuelles… Il senti alors ses joues chauffer un peu. Il avait tellement crié sous l’acte, incapable de modérer ses gémissements. Il enfonça un peu son profil dans le cou de son double, humant son parfum plus mâle avec la sueur et le sperm. Il se sentait honteux d’avoir autant été bruyant, comme une pucelle quoi. Est-ce que toutes les nanas qu’il se tape crient-elles autant ? Il se mordilla la lèvre et refoula vite cette pensée, il n’aimait pas penser que Thomas avait couché avec elle et qu’il pouvait être comme elle…

Doucement Thomas bascula sur le lit, s’allongeant et l’entrainant avec lui. Saez se laissa faire, se retrouvant allongé dans les bras de son double et ne cherchant même pas à s’y extraire. Il planait encore, épuisé, somnolant légèrement une fois bien confortablement installé en position horizontal et contre la nudité chaude de son double. Tout doucement la couette vint les recouvrir et Saez ferme les yeux, bercé par la chaleur du torse de son frère, ls battements de son cœur encore affolé et sa forte respiration. Y a pas un mot entre eux, mais ce silence n’est pas embarrassant, ni gênant, il est doux, tranquille, naturel. Saez sait que Tommy a aimé ça autant que lui et que la pulsion était putain d’agréable et de fascinante. Ils étaient juste KO d’avoir baiser si fort et puis ils voulaient encore profiter de la sensation merveilleuse de l’orgasme, l’après, la chute viendrait bien assez vite, ils n’avaient pas envie de s’en préoccuper.

Tout doucement la torpeur after jouissance engourdit l’esprit et le corps d l’androgyne. Il ferme les yeux, soupir un peu entre les caresses dans ses cheveux et sur son corps dénudé. Cette main chaude, parcours son corps satisfait et il y trouve un réconfort incroyable. Il se plonge dans la plénitude d’après l’amour, peu conscient d’un bruit de voiture à l’extérieure, il s’endort presque quand… Soubresaut et une main le secoua vivement :

« Saez ! SAEZ ! Bouge, maman est rentrée ! »

L’androgyne comateux, sursauta un peu hagard. Il se retrouva dans le lit défait sans le corps de son double. Il se frotta les yeux paumés et chercha où était Thomas. Se dernier s’état levé totalement nu du lit et le secouait encore plus pour qu’il se bouge.
A ce moment la porte d’entrée claqua et l’orgasme fut vite oublier. L’androgyne senti un frisson d’effroi et d’horreur lui plomber le ventre. Leur mère était là et eux ils étaient nus, ils puaient le sexe, la piaule aussi et ils allaient se faire choper dans une situation des plus dramatique. Très vite Saez se leva et paniqua à fond.

- Merde… Putain non merde… Maman est là…
Il jeta un regard alarmé à son double, oui ils allaient se faire choper d’avoir coucher ensemble.


- Thomas ? Saez? S’éleva la voix de leur mère d’en bas. Elle allait monté, comme son habitude pour voir comment ils allaient.
L’androgyne jeta un regard circulaire dans la pièce et se précipita vers la fenêtre l’ouvrant en grand pour que ça pue plus le sexe ici. Puis il ramassa ses fringues et balança tout bas à son double :
- Vite dans la salle de bain… Il le poussa ses bras chargés de ses fringues pour qu’il se réfugie vite dedans et avec lui.
Les pas de leur mère résonnèrent sur les marches de l’escalier. L’androgyne referma la porte de la salle de bain de son double, balança ses fringues dans un coin et alluma l’eau du lavabo et de la douche pour que ça fasse bien du bruit. A nouveau leur mère les appela, comme à son habitude elle était montée.
- On est ici maman !!!! Lâcha l’androgyne près de la porte et lançant un regard un peu inquiet à son double à côté de lui …. D…Dans la salle de bain !!!
Son cœur affolé tambourinait fort entendant la mère franchir le seuil de la chambre et s’approcher de la porte verrouillée. Elle toqua dessus, Saez lança un autre regard à son double, il fallait qu’il arrive à être crédible sinon…

- Thomas ? Saez ? Qu’est ce qui se passe? Pourquoi vous êtes là ? J’entend l’eau couler, vous vous faites quoi ?

L’androgyne dégluti et tenta d’avoir une voix naturelle :
- On se rafraichit maman, on revient du sport à l’école, on puait grave la sueur, du coup moi suis sous la douche et Tommy lui fini de se nettoyer au lavabo.

- Mais les garçons ? Vous avez chacun votre salle de bain ? Je ne vous ai pas vu occuper la même salle de bain depuis vos 7 ans. Leur mère s’étonnait mais sa voix semblait rire à cette idée.
Saez étouffa un soupir de soulagement, déjà elle rigolait donc ça ne semblait pas trop bizarre.
- Bha je sais mais bon celle de Tommy est plus pratique, y a une douche c’est vite fait. Hein Tommy ? Il poussa du coude son frère pour qu’il confirme.
Au final ce mensonge cousu de fil blanc sembla pourtant bien prendre. Oui en même temps, ils étaient tellement fusionnels que leur mère n’avait pas motif à trouver ça si bizarre. Ils étaient toujours fourrés ensemble depuis tout petit. Et aucune mère ne pourrait ce douter que ses fils pouvaient coucher ensemble. Non vraiment aucune personne censé ne pourrait faire ça… Pas comme eux quoi…

- Bon très bien mes poussins… Saez roula des yeux à ce surnom qu’elle continuait à leur donner malgré qu’ils n’étaient plus des ptits gamins. - Je descend préparer le repas, ne trainez pas trop les garçons d’accord ?
- Oui maman promis… Et les pas de leur mère s’éloignèrent pour descendre l’escalier.
Saez soupira et colla son front contre la porte, s’en foutant d’être toujours nu et poisseux pour le moment.
- Putain… On a eu chaud… C’était moins une… Il tourna ensuite son regard vers son frère tout aussi nu à côté de lui. Il ne pu s’empêcher de le scanner de haut en bas. Et il senti ses pommettes chauffer. Putain il réalisait qu’il avait couché encore avec lui, il en avait été très excité… Son frère était beau, il l’était plus beau que lui, tellement plus viril et là il était près de lui à poil. Il songea encore aux sensations entre ses cuisses et ça le déstabilisa pas mal. Il avala sa salive et baissa les yeux se sentant si chauds aux joues. Il devait rougir pitoyablement, il sentait encore la semence dévaler ses cuisses, trace collante du plaisir qu’ils avaient eu ensemble. Putain ça le mettait dans un état bizarre, entre honte et… et quoi ? Il ne savait pas vraiment quel mot utiliser. Il avait succombé au désir que lui inspirait son frère en train de se branler en pensant à lui, c’était bizarre quand même.
- Bon… On va peut être se laver non ?... Proposa-t-il timidement du coup, se sentant si démuni devant lui. Et il releva les yeux captant son regard. Cherchant une réponse, un réconfort ? Un soutient ou une réponse à cette question : et après ça ?...

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Dernière édition par Saez A. Weaver le Dim 20 Juil - 19:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeLun 20 Mai - 22:27

    C'est bien connu, après le calme il y a toujours une putain de tempête. Après un tel moment de bonheur, je me doutais un peu que la chute serait brutale, mais pas à ce point. De tous les jours où maman décide de rentrer plus tôt du travail, pourquoi a-t-il fallu qu'elle choisisse le jour où Saez et moi couchons ensemble ? Je sais pas, ça doit être une sorte de sixième sens de mère. Même si je doute qu'elle puisse se douter d'un truc aussi dingue, elle doit sûrement avoir senti ces derniers temps comme une tension entre mon frère et moi. Lorsque ce dernier sort des vapes dans lesquelles il s'était enfoui, je suis déjà debout en train de ramasser mes vêtements que j'ai négligemment abandonnés aux quatre coins de la chambre. Très vite, j'arrache les draps du lit et les balance dans ma corbeille à linge sale avant d'en mettre des neufs. Pendant ce temps, mon frère jumeau s'occupe de ses propres vêtements et se précipite sur la fenêtre pour aérer la pièce et faire disparaître cette puissante odeur de transpiration et de sexe.

    Nous disparaissons alors dans ma salle de bain et Saez s'active à prétendre que nous sommes en train de nous laver. Maman arrive finalement mais je ne prête nullement attention à ce qu'ils se racontent au travers de la porte. Je sais que mon petit frère fera tout ce qu'il faut pour que l'excuse soit en béton. Mon regard s'attarde sur son corps nu. Lorsque maman s'éloigne enfin, il se tourne vers moi avec un air interrogateur. Oui, je sais. C'est à moi de trouver un truc à dire à propos de ce qui est arrivé. Encore. Lentement, je lui tourne le dos et rentre dans la douche. L'eau est brûlante alors je baisse le chauffage jusqu'à ce qu'elle soit presque fraîche. Je n'ai jamais aimé les douches chaudes, sauf en plein hiver. Après une profonde inspiration, je me détend et recommence à sourire je me tourne vers Saez et l'arrose abondamment.

    « Bon allez, arrête de faire cette tête et viens te laver, on dirait que t'as couru un cent mètres, là. »

    Je le taquine, je l'éclabousse, comme si nous n'étions que des gosses. Au fond, c'est ce que nous sommes, même si chacun de nous sait dès à présent qu'il n'y aura pas de retour en arrière. Ensemble, nous passons lentement à l'âge adulte, comme nous l'avons toujours fait. Comme toutes les autres, nous passerons cette évolution en se soutenant mutuellement. Je ne veux pas penser au mal qu'il y a dans le fait de coucher avec son frère jumeau. Je veux plutôt penser au bien que ça nous apporte, au plaisir que l'on en tire, aux leçons que ça nous donne. C'est vrai que nous ne nous conduisons pas comme des gens normaux, mais nous ne l'avons jamais été, et ce depuis la naissance. Nous sommes nés d'un même œuf, d'un même amour, d'un même jour, alors pourquoi ne pourrions nous pas partager aussi les mêmes sentiments l'un envers l'autre ? peu à peu, je me rend compte que je suis en train d'accepter cette situation et ça ne me plait guère. Pourtant, que puis-je faire d'autre ? Il est clairement trop tard pour nier l'évidence. Je l'aime.

    « Alors, tu ramènes ton cul dans cette douche ? »

    Tout en prononçant ces mots, je saisis la savonnette et commence à la passer lentement sur mon corps nu et ruisselant d'eau. Je la fait glisser lentement sur ma nuque, mon torse, mes bras, laissant ici et là des marques blanches et mousseuses. Je fais exprès de faire ainsi, parce que je sais que ça lui plait même s'il dira le contraire. Je veux le tenter, je veux qu'il arrête de se prendre la tête et qu'il vienne se doucher avec moi. On a plus fait ça depuis des années et pour être totalement honnête, ça me manque profondément. J'aimerais bien redevenir un enfant. le jet de la douche me masse les épaules et je ferme lentement les yeux de bien-être. Mes courbatures s'atténuent un peu et je me demande si un jour je serais assez musclé pour faire l'amour pendant des heures sans ressentir de douleur musculaire après.
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Saez A. Weaver
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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeMar 21 Mai - 8:52




Ils ont eu chaud, très chaud là. Saez le cœur battant une fois la menace mère partie, se tourna doucement vers son frère qui tout aussi nu que lui le fixait en silence. Ils avaient échappé de peu au pire, vraiment au pire.  L’androgyne lâcha un soupir malgré lui, un soupir de soulagement de n’avoir pas été grillé par leur mère. Il était clair que de se faire surprendre en train de coucher avec un homme sous le toit de ses parents ne serait pas bien vu, mais en plus que l’homme en question qui vous fait si passionnément l’amour est aussi le frère jumeau ?... Non impossible que cela compris et toléré. Il se passerait quoi ? Pension ? Psy ? L’exile et la honte ? Puis voir sa mère le regarder avec dégoût comme un monstre… Insupportable.
Maintenant alors qu’ils étaient « sauvés » et seul à seul dans la salle de bain, Saez se tournait vers son « grand » frère. Un réflexe, un besoin qu’une nouvelle fois il soit là et protecteur, qu’il dise quelques choses. Qu’il dédramatise certainement les choses. Et en faite fidèle à son rôle, il ne manqua pas de lâcher une ptite réflexion avec un sourire bienveillant et tendre :

« Bon allez, arrête de faire cette tête et viens te laver, on dirait que t'as couru un cent mètres, là. »

Il s’était glissé dans la douche après l’avoir mieux réglé niveau température. Il éclaboussa Saez pour le faire réagir. Le jeune brun poussa un ptit cri aigus et se protégea de cette flotte. Un sourire fendit son visage et un petit gloussement s’éleva avec le bruit de l’eau.
- Tu vas mouillé partout, maman va te tuer idiot ! Couina dans un rire Saez.
Ils n’avaient pas partagé un bain ou une douche depuis si longtemps. Après tout qu’est ce qu’une douche après avoir partagé bien plus maintenant ? Alors l’androgyne s’avança vers la douche où son frère se savonnait déjà avec vigueur. Vu l’odeur de sueur et de sexe, il était préférable de bien se savonner.

« Alors, tu ramènes ton cul dans cette douche ? »

L’androgyne passa l’ouverture, repoussa la porte vitrée opaque et se mit à son tour sous le jet un peu trop tède à son goût. Aussitôt il frissonna et la chaire de poule apparut partout sur son corps.
- Je suis là. Lâcha-t-il en lui prenant la savonnette des mains et lui lavant le dos.
- Putain elle est gelée ta flotte…. Glapi-t-il en commençant à l’aider à bien frotter et faire mousser sa peau dans le dos, sur ses épaules et sa nuque. Il essayait d’être tendre et naturel. Toucher son corps de cette manière après l’orgasme et le plaisir, le mettait dans un état de trouble comme une jeun fille après sa nuit de noce qui encore prude veut faire plaisir à son mari… IL se sentait encore plus idiot, alors que le côté tactile et câlin avec son frère ils avaient pourtant l’habitude. Oui mais bon ça c’était avant d’avoir fait l’amour avec lui, c’est sûr. Mais après tout, il y avait bien un amour spécial avec lui depuis tout petit. Ils n’avaient jamais vraiment agis de façon simple.
Il promena ses doigts sur cette peau plus dorée que la sienne et fut très concentré à sa tâche de bien faire mousser le dos, la nuque, les reins et descendre jusqu’aux fesses. Puis une petite hésitation avant de finalement le faire se tourner et lui faire face. Trempé totalement, ses cheveux longs sombres collant sur son visage, sa nuque et sa clavicule, Saez esquissa un sourire un peu amusé et timide. Il commença à laver son frère sur le torse musclé et descendre ses mains vers le ventre, nettoyant vraiment tout. Il agrippa doucement le sexe en repos et satisfait pour nettoyer de toute trace de sperm.
- Je sais pas comment tu fais pour supporter une eau aussi froide… Suis glacé là. Répliqua-t-il les yeux dans les yeux, petit sourire mordillé et pommettes rougissantes un peu en frottant entre ses mains mousseuses la virilité de son double.
Il semblait apprécier les caresses du jeune brun, sans besoin de trop parler, le feeling, leur connexion et leur bulle incestueuse se poursuivait encore. Prolongeant l’échange, le trouble, ses étranges sentiments attractifs et brûlant. Il ne se reconnaissait plus trop, touchant de façon si intime son frère et puis il s’avança, mouillé l’un et l’autre. Il poussa d’une main son jumeau à reculer sous le jet d’eau pour se faire rincer et colla sa bouche à la sienne, l’embrassant délicatement et de plus en plus passionnellement. Il savourait encore un peu cette bouche, cette langue dominatrice. Il plaqua sa main libre sur sa nuque, appuya dessus, intensifia sentant la passion prendre l’un et l’autre. Les mains de son frère caressant son corps humide et nu. Et puis Saez à bout de souffle quitta cette bouche moelleuse, plongea son regard sombre dans le sien. Se lécha la lèvre, sourit doucement en caressant un instant sa joue de son pouce et puis… Il déposa la savonnette dans la main de son jumeau.

- A ton tour de me laver Tommy.♥ Il émit un petit rire et offrit son corps au bon soin de son double, histoire d’être propre et de pouvoir après s’être habillé , descendre dîner avec leurs parents comme si de rien n’était.

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Dernière édition par Saez A. Weaver le Dim 20 Juil - 19:16, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitimeMer 29 Mai - 15:42

    Oui, l'eau est fraîche. J'ai toujours pris mes douches à cette température, surtout après avoir couché avec quelqu'un pour calmer la chaleur intérieure. Je vois frissonner mon frangin et j'ai presque envie de me le faire encore une fois. Il est tellement mignon lorsqu'il est gêné et un peu tremblotant. Ses mains glissent sur mon corps en faisant mousser le savon et je ferme les yeux de délice. Ce contact n'a rien à voir avec celui de tout à l'heure. L'eau et le gel douche apportent une toute nouvelle texture qui a le don de me plaire énormément. Lorsque ses mains se perdent sur mon sexe, je me racle la gorge en mordant ma lèvre. Je ne vais pas rebander tout de suite, mais ça n'en est pas moins agréable. Un sourire se dessine sur mes lèvres et je replace derrière son oreille l'une de ses mèches noires plaquée sur son visage par l'eau. Des souvenirs me reviennent de notre enfance qui me semble maintenant si loin. On est pourtant que des adolescents, mais je me sens vieux lorsque je nous revoit dans le même bain, jouant à nous éclabousser.

    Enfin, c'est mon tour. Mon frère grelottant me demande de le frotter et je ne me fais pas prier. Du bout des doigts, je tourne le bouton rouge de la douche et une vapeur dense envahit la cabine. L'eau chaude éclabousse nos corps et je soupire de bien être lorsque la chaleur détend brutalement mes épaules qui étaient restées tendues. Maintenant que Saez n'a plus froid, je peux m'occuper de lui plus sereinement. Lentement, je fais glisser le savon sur son torse fin où je remarque certaines marques laissées par mes lèvres et mes dents. Concentré, j'essaye de ne pas trop y penser et je m'atèle à bien faire mon boulot. Mes mouvements font mousser le savon sur le corps de mon frère, je n'oublie aucun endroit sans oublier les cheveux, laissant son sexe pour la fin. Lorsque tout le reste est propre, je prend son sexe dans ma main droite sans aucune gêne, mon regard dans le sien. Doucement, je le masse, le lavant de toute trace de nos spermes mélangés. J'observe son visage se détendre petit à petit, le plaisir qu'il retire de ces gestes lents mais assurés.

    Une fois bien rincés tous les deux, j'ouvre une porte de la cabine, saisit une serviette et enveloppe Saez dedans avant de le frotter un peu énergiquement sans pour autant le secouer. Je ne veux pas qu'il attrape froid à cause de moi. Ce silence me pèse un peu mais j'ignore quoi dire pour détendre l'atmosphère. Comment retrouver une relation fraternelle à peine dix minutes après avoir couché ensemble comme des bêtes ? Mon regard sonde son âme sans réussir à y puiser le moindre encouragement. Je stoppe mes mouvements et soupire.

    « Je ne sais pas où cette histoire nous mène, j'ai autant la frousse que toi. Ça change beaucoup de choses dans notre façon de vivre, ça fait beaucoup en peu de temps. Pour le moment, le mieux c'est de continuer à faire comme s'il ne s'était rien passé. Les solutions viendront d'elles-mêmes lorsque ce sera le moment. »

    Sur ces mots, je sors de la douche en premier et entoure mes hanches d'une serviette. Dans ma chambre, j'attrape un caleçon, un grand short de basket et un t-shirt bien ample que j'enfile sans me presser. D'un geste de la main, je referme la fenêtre et attrape ma panière à linge sale où reposent les draps souillés par nos ébats. Il me suffira de les mettre moi-même dans la machine en descendant et dire à maman que j'ai transpiré dans le lit en dormant à cause de la chaleur. De toute façon il n'y a aucune chance pour qu'elle envisage que Saez et moi ayons eu une relation sexuelle. Par contre, il est pas impossible qu'elle pense que j'ai invité une copine à faire des saloperies dans mon lit. Dans ce cas, ben tant pis, de toute façon elle n'a jamais été contre le fait que j'ai des petites-copines. Sans un mot, je regarde mon frère rejoindre sa chambre pour s'habiller aussi. Mes yeux tombent par réflexe sur son postérieur qui remue à chaque pas sous la fine serviette. C'est mal ce qu'on a fait, mais putain j'ai déjà hâte que la prochaine crise arrive.


END.
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MessageSujet: Re: [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] [Flashback] « Du rêve à la réalité. » | Saez & Thomas | +18 [END] Icon_minitime

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